• Ce que j'attendais depuis des semaines est enfin arrivé... Ma femme est arrivée samedi soir, pile le jour de nos six mois. Pas de mots pour dire à quel point j'étais heureuse de la retrouver. Des calins, des calins et encore des calins...reprendre nos petites habitudes d'amoureuses, mais avec encore plus de tendresse, parce que la séparation nous a donné encore plus envie de nous aimer... aujourd'hui mardi matin, dix heures, mon amour dort encore. J'ai l'impression de respirer, enfin, après ces longs jours d'abscence. Je suis bien, rien à penser à part au bien-être de ma femme. Hier après avoir fait l'amour (hum...), des mimis pour mon coeur pendant longtemps puis, loveuse que je suis (héhé) un peu de musique mi-zen, mi-romantique aux platines pour pouvoir faire de gros calins et pleins de petites caresses...veiller aussi à ce qu'elle n'ai ni trop chaud, ni trop froid, qu'elle soit bien... ensuite, hop on se lève, direction la cuisine pour aller concoter notre petit dîner namoureuse (pour la petite recette, faites revenir champignons, lardons et tomates dans une poele avec un peu de crème et des petites herbes, ajoutez tout ça à des pommes de terre sautées et voilà :)) tandis que ma femme s'occupait d'arroser les plantes et de ranger un peu...comme le sentiment d'un début de vie de couple, malheureusement ma mère ne tardera pas à rentrer...enfin pour l'instant, un petit paradis qui fait vraiment du bien, une petite pause avant de retrouver le stress et tous les problèmes de la rentrée que je préfère mettre de côté pour l'instant. Demain soir, direction la gare pour prendre le train de nuit qui nous emmène vers l'espagne et neuf jours de zolies vacances en couple. Les muffins sont chauds, je vais aller apporter son petit déj au lit à ma femme que j'aime et vous fait plein de bisous mes potes blogglandiens ! Bon réveil :)

    (J'ai vu que mon blogg avait été ajouté à "une sélection de blogg" sur la page d'accueil...fi toute rouge maintenant fallait pas ;))

    Mim'


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  • Extrait de mon journal...

    30 Juin

    "Tout cela est arrivé d'un coup sans même que je ne m'en aperçoive. Elle est venue à moi par un des moyens de rencontre, qui est à mon goût des plus absurdes qui soit et à présent je ne suis plus. Une part de moi a été happée par l'autre, je ne suis entière qu'en sa présence. Je l'aime passionnément et il m'est aujourd'hui impossible de raisonner sans tenir compte de son être, de ses désirs. J'entretiens des rapports électriques et paradoxalement doux avec elle. Il est des instants où j'ai le sentiment d'être handicapée car je suis incapable de décrire avec justesse des sensations trop vives. J'ai peur de tomber dans des propos fades et vides qui viendraient assassiner l'indicible.

    Droguée. Je me soule d'une ivresse qui semble émaner de nos corps, s'échapper de nos êtres en volutes douces et invisibles. Sa joue glisse contre mon visage et c'est dans cet unique contact que je goûte à l'extase. Les gens autours se sont évaporés, annihilés...mes yeux sont aveugles à tout autre chose qu'elle. Faire l'amour ne pourra pas être plus intense que cet instant, la fusion paraît s'être créée d'elle-même, née d'un simple baiser. Etrange étourdissement, qui ralentit nos gestes pour mieux les ressentir. Impression d'un songe éveillé où je flotte, comme emmitouflée dans les spirales chaudes de son sourire.

     

    J'aime regarder son dos nu lorsqu'elle a gardé son jeans, j'aime la regarder lire, une mèche de cheveux devant les yeux, j'aime sa féminité masculine. Je suis amoureuse de ses yeux.

     

    Lorsque je suis séparée d'elle, j'aimerais rester étalée des heures sur des dalles froides et bossues, sous une pluie douloureuse et pleurer jusqu'à ce que mes larmes n'est plus aucun sens. J'ai envie, comme l'autre soir à

    la Galerie</personname /></personname />, de me perdre dans cet immense accéléré dégénéré d'une foule en transe, en proie aux vibrations sourdes d'une musique enivrante, envie de ne plus rien voir, seulement de s'oublier dans un néant intérieur, d'oublier que l'on est soi, et jouir de la lente descente vers la dépravation rédemptrice. Sombrer complètement.

    (...)

    Je ne veux pas vivre dans la banalité. Je ne recherche que l'absolue, tout ce qui donne à ressentir de l'intensité, tout ce qui pousse à écrire. Je ne vis pas l'intensité avec les hommes. Un homme et une femme ne seront jamais aussi proches que deux femmes, qui en plus d'avoir la complicité du sexe, ont leurs sensibilités qui se heurtent, se mêlent et s'étreignent avec violence. Je ne pourrai m'abandonner que dans les bras d'une femme car c'est s'abandonner dans le double de soi, c'est pousser son être à se recréer dans le corps de la femme aimée et le pousser au-delà du paroxysme amoureux. Aimer une femme c'est s'extasier de l'autre et s'extasier de soi. "

    A mon amour...

     


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  • ...

    JE T'AIME !!

    Pour toujours, putain, toujours, toujours, toujours......jamais je te lacherai jamais t'es la moitié de mon coeur et sans toi je ne vis plus, je t'aime mon amour..........je t'aime tellement.........


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  • ...

    J'avais envie de parler de notre soirée d'hier soir, avec la fête de la musique, parler des bars où on a traîné, de ce qu'on a vu, etc...mais en réalité je n'en ai plus envie. Là maintenant je repense à cette nuit allongée à côté d'elle dans le noir, à la sentir contre moi dans mes bras, dans cette chambre que je ne connaissais pas, avec tous les souvenirs d'une soirée très agréable qui touche à sa fin, en tête. Impression de n'avoir jamais été aussi heureuse avant, de n'avoir finalement jamais su ce qu'était réellement le bonheur... j'ai toujours rêvé de vivre dans un paroxysme permanent, c'est à dire vivre dans un état où les sentiments sont poussés à leur maximum en permanence. J'en rêvais ne pensais pas le trouver au hasard d'un chat stupide. Je suis fatiguée et je ne sais pas comment écrire tout ce que je voudrais dire. J'aimerais écrire quelque chose de beau, quelque chose qui ne soit pas cliché et qui sorte du coeur, j'aimerai décrire mes sentiments avec des mots que jamais personne n'a employé mais je n'y parviens pas. Tout est trop fort et je ne suis pas assez habile littérairement parlant pour en parler. Je suis là, seule dans ma chambre obscure, à bouger le moins possible pour avoir le moins chaud possible et je pense à elle, à elle toujours. Je voudrais qu'elle soit là, avoir son odeur, ma bouche dans son cou et surtout la serrer très fort dans mes bras......et puis la regarder dans les yeux, lui dire des choses qu'elle sait déjà mais qu'elle aime, enfin je crois, entendre et que j'aime, j'en suis sûre, lui redire encore, avec cette impression de nouveauté, comme si chaque je t'aime était le premier. Mais je vais m'arrêter là avant de tomber dans le mièvre et l'écriture rose bonbon...je l'aime, je t'aime mon amour et j'espère qu'un jour je saurais de l'écrire aussi divinement que les plus grands.


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  • Avec ma femme, on s'est amusées à regarder les diapos de moi étant bébé. Autant dire que nous avons bien ri et comme je vous aime, amis blogglandeurs qui n'avez cure de ma petite vie ^^, je poste la crême des photos dossiers ou non, parmi toutes celles visionnées... (dans la rubrique photos du fond de tiroirs des mes albums ^^)Charriage ne pas s'abstenir :p

    (La photo présentée ici est un dossier de chez dossier intitulée Mim' la bouff tout ^^)


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