• De retour, pour un article récapitulatif de mes dernières semaines, bien que la plupart d'entre vous a du arrêter de lire mon blogg, vu l'inactivité qui y régnait. Tout d'abord, parlons gay pride, pour les nouvelles photos de cette année, direction les albums. Comme l'année précédente, déguisements farfelus, couleurs pétantes, et confetis étaient au rendez-vous. La marche contre le sida toujours aussi active, toujours autant de monde... mais également quelque petits soucis, une jeune fille qui s'enfile de la vodka et qui finit à l'hopital...

    Soirée à "La scène" pour écouter de l'électro et une Dj, qui en plus d'être bien "miam", est excellente --> Elodie Nelson. Des gays qui s'embrassent, des mains sous les t-shirts humides... Des flashs roses, verts, blancs, des images de moustaches, de poupées, de lapins criant "sugar", des hommes nus, défilent sur un écran. Les corps dans le mouvement, les platines argents, les soeurs de la perpetuelle indulgence qui se déhanchent sur la scene, des énormes seins en plastique, un fessier artificiel... une joue toute douce...

    Si l'on rembobine la cassette à un peu plus loin, en gros cela donne ça :

    Je pense avoir mon bac du premier coup, mais je préfère m'attendre à passer le rattrapage, histoire d'éviter les surprises... une semaine à chercher un appart, pour dénicher la creme hier apres-midi, creme qui malheureusement a plu à quelqu'un d'autre...suspens donc, quant à savoir lequel des deux dossiers l'emportera... à parier que ce ne sera pas nous... j'ai agrandi ma dvdthèque avec une quinzaine de bons films... j'en parlerai peut-être dans mes prochains articles.

     

    A part ça j'ai eu 18 ans au début du mois. L'avantage c'est de pouvoir rentrer en soirée même avec une gueule de fille de 14 ans, les inconvénients c'est de devoir se prendre en main question sécu, assurance, etc...

     

    Sinon je suis toujours avec mon namoureuse que j'aime toujours autant et suis toujours aussi pressée de pouvoir enfin emmenager avec elle...

     

    Vais aller m'occuper de ranger le bordel.

     

    Bonne soirée Bloggland.


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  • Bon, pour la description plus pratique, allez looker sur le blogg de ma femme........ moi je me contenterai de la critique (gnark Mim' adore critiquer >_<).

    Après quelques paumages sur le périphe, la petite troupe de lesb (Shane, Doro, sa cop Marie, mon amour et moi), arrivons enfin au ciné où devait se dérouler la nuit rose, avec une chtite demi-heure d'avance. A l'occasion, histoire de ne pas louper le ciné, tout était éclairé en rose bonbon, oui, oui un peu le même genre de rose que la robe de Madonna sur la pochette de Confessions... bref rose quoi. A peine arrivé devant la porte d'entrée, plus aucun doute, vous savez que vous êtes à la Nuit Rose. C'est la soirée des stéréotypes, des hétéros curieux, et des filles qui font pas lesbiennes pour deux sous (moi ?). On retrouvera donc un charmant mix de coupes au carré, crane rasé, piercing à l'arcade (au top de la déco), lunettes rondes, style mec, voix effeminée, rire d'ados pas encore terminé...Bref le monde gay comme on en voit dans les films américains. Moi déjà crevée par ma mi-nuit blanche de la veille, je dodote déjà dans les bras de mon amour qui par contre, pete la forme.

    On nous file des prospectus nous expliquant le programme de la soirée. A première vue, les films ont l'air sympas..........malheureusement, seule la première scéance (et encore...le deuxième court métrage était bof) en valait la peine. Un film vraiment pas mal "Manner wie wir", que je vais m'empresser d'aller dénicher sur internet mais pour le reste, plutôt franchement nul........ soyons franc, les courts métrages à part "les couilles de mon chat" sentaient l'amateurisme (mdr) ) à plein nez, les scénarios manquaient de souffle et d'originalité, les thèmes récurrents étant la peur de s'assumer, l'acceptation très dure et très lente des parents, etc.. thèmes ô combien déjà rabachés dans x films gays, et au final, plutôt lassants. Le deuxième film n'en parlons pas. Un film argentin racontant les aventures de deux jeunes femmes prête à tout pour pomper le sperme du frère de l'une afin d'avoir un enfant. Toute l'action se déroule dans un seul et unique lieu : un appartement aux couleurs criardes et meublé avec mauvais gout. Les pauvres tentatives d'humour sont affligeantes, les personnages ridicules, tout est lourd, tout tourne petit à petit en un bordel monstre, où on ne s'y retrouve plus. En plus, manque de pot, les sous-titres n'étaient pas toujours en rythme avec le tout, ce qui donnait parfois un curieux mélange, bref une bonne merde, il faut bien le dire, et qui plus est, servie à trois heures du mat, autant vous dire que c'était hard. En ce qui concerne le troisième film, eh bien, vraiment très très moyen (j'ai envie de dire nul mais comparé à l'autre bon c'était encore limite potable). Le scénario : un type rejeté en temps que pd dans son univers famillier boit quelques coups de trop et se prend un arbre en rentrant chez lui. Il se réveille avec vingt ans de moins dans un monde où tout le monde est homo. Là, on se dit que c'est original, mais en fait non, l'action tourne en rond, le type qui n'arrive jamais à être normal (d'où le titre "almost normal") devient soudainement hétéro, bref un film qui tourne vite à la bouilllasse niaise et bon enfant, d'où il faudrait tirer la leçon "quand on est homo messieurs les hétéros, on l'a dans la peau".

    Mais bon, au moins heureuse d'avoir vu le premier film qui lui par contre m'a vraiment plu. Un conseil sinon, si vous décidez d'aller à la nuit rose, ramener votre oreiller, parce que faire une tentative de dodotage étalée entre deux sièges, avec une barre dans le dos, et des fourmis dans les jambes à s'arracher les cheveux c'est pas le top. Bref on y retournera l'année prochaine, seulement après avoir vérifié que les films présentés aient réellement un quelconque interet.


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  • Non, vous ne trouverez pas sur cette page, l'actualité de la SNCF et de ses charmantes promos prem's, spéciales djeuns, (Enfin, je critique, je critique mais elles m'ont bien servies) mais un constat qui se veut désespérant du nombre de gens qui manche sans relâche dans le métro (manche = faire la manche en langage underground). J'ai eu l'occasion assez récemment et ceux qui me lisent sont au courant (nota bennnne => ceux = nobody), de faire une utilisation intensive du métro, et quand je dis intensive c'est un euphémisme : la preuve maintenant j'ai le plan des lignes imprimé dans le cerveau et vous pouvez m'appuyer sur le pif pour que je vous sorte n'importe quel nom de station avec la ligne qui lui correspond, - je suis Nono le petit robot, lol attention référence, référence -... fin bref, de quoi vous racontez tout un tas de choses. Déjà je tiens à dire que le nombre de clodos est impressionnant, ou alors c'est moi qui découvre le monde as Martine - comprennent qui peuvent, mais si Martine, avec ses yeux qui scintillent et ses fidèles amis, Martine qui sait décidemment tout faire, qui découvre le monde, petite maman, à la ferme, etc... tous ces livres qui débordent d'amour et d'entrain à vous en faire mal aux nyeux. Mais petite minute ciné, Martine c'est aussi Audrey Tautou dans l'Auberge Espagnole, ze victime du virus Martine, qui soit dit en passant ne sert pas à grand chose dans le film - , bref si j'étais Martine, avec mes yeux pétillants et humides (non il ne s'agit pas d'un chien), je tendrais la main aux plus déshérités et je m'empresserai de créer une ONG call Martine movment, je distribuerai des tracts ennuyeux à la populace jours et nuits, puis lorsque je commencerai à avoir un certain "audimat", je me ferai de la thune sur le dos des Mères Théresas de tous les jours et j'irai découvrir le monde en sandalettes et bob I love NY, tout en reversant 000,001 % des fonds récoltés aux pauvres djeuns boutonneux que je paie à distribuer mes flyers façon fashion croix rouge. Mais je ne suis pas Martine et je dois malheureusement me contenter de filer mes fonds de poches et quelques clopes. Je tiens à préciser que ce qui va être dit à présent n'est pas un manifeste de la clochardise destiné à railler les pauvres bougres qui peuplent les bancs du métro, mais juste un constat, a little accablant.... donc j'ai eu l'occasion durant ces deux semaines intenses, un certain nombre de spécimen.
    - tout d'abord le clodo-magnéto. Le CM (dirons-nous pour faire court), tout âge confondu, homme ou femme, est flanqué d'un sac camping façon guide du routard dans le métro, en général ne sent pas très bon, et a souvent les yeux mi-clos, du genre shooté sans rien fumer. Lorsqu'il parle il suit les secousses du métro et son flow monotone illustre parfaitement l'état de léthargie qui semble atteindre la plupart des gens qui utilisent les bons services de la ratp. La plupart du temps, le CM répète mot pour mot, le même discours, chaque fois que vous le croiserez, toujours en mettant un accent tragique là où il faut, toujours avec le même ton, et le même entrain (c'est-à-dire nul). C'est celui que les petites secrétaires mariées à des cadres supérieurs essayeront d'éviter en se pinçant discrètement le nez lorsqu'il passera récolter le maigre revenu de sa journée.
    - viens ensuite le clodo-positif, le mec qui va vous faire un cours de civisme le temps d'aller de St-Lazare à Havre-Cau, et de loin celui que je préfère. D'un air jovial, il va vous expliquer que la vie n'est pas si pourrie (encore une victime du virus Martine), qu'il faut positiver et qu'un simple sourire pourrait illuminer sa journée, mais quand vous voyez l'état du mec, vous doutez sur le fait qu'il puisse survive grâce à des sourires colgates de gens crispés et coincés. Mais au moins, il aura déjà forcé votre voisin à la face de mérou à faire un effort de savoir vivre. Vous imaginez ce que ça donnerait si tous les crispés étaient obligés de sourire à tous les crispés ? Les médecins n'en finiraient pas d'être appelés pour problème de mâchoires coincées.
    - viens ensuite la folle à tendance bonne soeur skyzos, qui tente de te vendre la bible traduite en toutes les langues -attention même le wagadou y passe - . Malheur à toi si tu te situes près d'elle, car tes tympans risquent de ne pas finir le voyage. En effet la folle à... à une légère tendance à hurler, que dis-je à brailler ses sermons évangéliques. En tout cas attends toi à entendre "je reviendrais, je suis toujours là, Dieu m'a envoyé ici, je ne suis pas la de ma propre volonté", le tout accompagné de grands mouvements de bras. Dieu est discount, bibles emballées dans un sac leader price et retrouver le Christ ne coûte que dix euros.
     
    - pour terminer, je parlerai du manouche tordant, le jeune qui débarque dans ton wagon, fringué comme un ricain, genre de mélange entre un Billy Crawford sur le retour et un Brian, avec une énorme enceinte. Là, rien qu'à l'accoutrement, tu flippes et tu n'es pas au bout de tes surprises, car Billy sait chanter, il sait même rapper et il te déverse son savoir faire dans une langue inconnu aux bataillons, tout en faisant des grands gestes de rappeurs dans le vent,sans oublier de se pencher vers deux pintades de quinze ans, habillées en pouff, et qui gloussent dès qu'il les regarde. Là, toi le parisien normal, tu es dans ce qu'on appelle un état d'hilarité frénétique, devant un tel énergumène, mais TU n'es pas au bout de tes surprises, le type sait danser, car après son rapoùtupigeskedal, il commence à se déhancher sur un air du style Noumanoumayé en adoptant des postures tellement ridicules que tu ne pouvais t'imaginer que c'était possible. Le tout étant bien sur exécuté avec un sérieux et une rigueur indétrônable. Bref le type à ne pas manquer, mais fais gaffe à tes oreilles.
     
    Enfin chers amis Blogglandiens, blague à part, il est toujours sympa de leur filer une pièce ou une clope, ne les oublions pas...

    Mim' allias Mère T. (en anglais dans le texte) rebaptisée par sa femme préférée.

    Picture by Evening Standard

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  • Vous connaissez ? Le syndrome fnac, ce truc qui vous prend, à l'instant où vous avez poussé la porte, et qui vous ferait acheter tout le magasin si vous en aviez les moyens ? Ah ils sont doués à la fnac, plein de stratégies pour vous faire consommer : tout d'abord, dans chaque rayon, les vendeurs passent un album différent, qui vous oblige à tendre l'oreille et qui vous mènera à aller vous renseigner sur l'artiste, puis à avoir le disque entre vos mains, et à partir de ce moment, là, c'est plus bon du tout, vous vous sentez glisser, la main crispée sur la visa, avec une furieuse envie de l'utiliser. D'ailleurs c'est amusant de voir le nombre de fiévreux de la carte bleue, qui arpentent les rayons avec un tas de disques-dvds-livres sous le bras, qui look chaque nouveauté, chaque "sélection fnac", et qui honteusement et tout en vérifiant, inquiets, que personne ne les voit, déposent dans un coin, à contre-coeur, un livre qu'ils ne peuvent se permettre de s'acheter aujourd'hui. Ils y en a qui comptent et recomptent la somme de tout ce qu'ils veulent emporter et qui espèrent à chaque nouveaux calculs, que les euros vont diminuer inexplicablement...mais en vain. Autre truc amusant, il y a une pénurie de vendeurs à la fnac, mais une recrudescence de catalogues nouveautés. Je m'explique : après vous être escrimés à chercher dans les rayons LE disque qui n'est plus disponible - comme de par hasard -, et à maugréer contre les plaquettes des artistes qui jouent l'alphabet à l'envers - après allez essayer de vous y retrouver -, vous êtes irrité, oui il faut l'avouer et vous vous dirigez donc vers le st graal, le vendeur fnac, habituellement reconnaissable par sa tête de djeuns et son gilet vert, qui, comme le veut la coutume, est quasiment toujours introuvable. Par contre, sur le comptoir du susdit vendeurs, vous trouverez souvent un catalogue nouveauté ouvert, par hasard bien sûr..., et il va alors être très compliqué de résister à la tentation d'y jeter, juste un simple coup d'oeil, pensez-vous, coupable, pour ne pas vous mouiller. A propos un conseil : ne jamais aller à la fnac une heure avant sa fermeture, car ils sont malins les bougres, et tandis que vous cherchez la perle rare dans toute une sélection de disques, une nana à la voix nasillarde vous répète tous les dix minutes que la fnac va fermer dans x temps, histoire de vous poussez à vous dépécher, et plus l'échéance approche, plus vous vous sentez pris de panique, et les disques s'accumulent, lequel choisir, lequel prendre, trop cher oui mais bon..., et hop, merde plus que dix minutes, allez j'en prends la moitié, ouf soulagée, mais pas pour longtemps, car une fois à la caisse, vous vous apercevrez de votre manque de sérieux en voyant le résultat tout en bas du ticket carte bleue. Vous vous jurez qu'on ne vous y reprendra plus mais on vous a surpris, lorgnant, juste avant de sortir, les meilleures ventes du mois dernier.

     

     

     

    Fnac Fever, quand tu nous tiens... =)

     

     

     

    (Du coup, comme j'ai blablaté, mes achats d'hier, à venir dans les prochains articles...)

     

     

     

    JE VAIS VOIR MASSIVE ATTACK (oh god !)

     


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  • Ce matin j'ai voulu aller en cours, mais une bande de types en colère bloque le lycée... ils sont là avec leurs drapeaux, leurs mégaphones à hurler je ne sais quoi, je me demande combien de temps ça va tenir étant donner qu'il va y avoir les vacances. Bref, d'un côté c'est pas cool pour ceux qui veulent avoir cours mais bon c'est sur que comme dirait la prof de philo, on va pas cracher sur trois jours de vacances en plus, où je pourrais taffer tranquille chez moi. Bref journée calme en perspective. Bonne journée Bloggland.

    Picture by Frank Barett


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