• Des mots, de la débilité...rien d'intéressant...

    Il est maintenant une heure et demi passée, je venais décrire quelque chose mais je l'ai effacé sans le vouloir, vu qu'à travers mes larmes je ne vois foutrement rien. Alors je recommence, voilà deux heures que je pleure sans m'arrêter, quelques matinées où je me lève les yeux énormes, à cause de ces soirées passées à pleurer et à ne presque pas dormir. Voilà deux heures que je pleure dans mon lit, à essayer de résoudre ce sudoku stupide, à innonder mon oreiller et à répéter bêtement que j'aimerai que tu sois là. J'ai passé une heure et demi à lire tous tes premiers articles, les articles avant notre rencontre, les articles après, tous les week-ends qui défilent d'un seul coup, et moi qu pileure comme une idiote en repenssant à tout ça, en relisant tous les trucs si adorables que tu m'as écris... je ne sais pas pourquoi j'en fais tout un drame, après tout ce n'est que six jours, je devrais être habituée, te laisser tranquille avec tes cousins, mais je ne peux même pas ! Comme on dit, avec cette métaphore, au combien rabbachée, je suis comme droguée, complètement en manque de toi, de tes mains, de tes bras, de tes calins, de tes yeux, de toi, de toi de toi ! Je ne sais pas pourquoi je suis si mal, je devrais être habituée après les trois semaines en chine mais même pas, tu vois tu me manques encore plus que quand j'étais là bas...c'est pour te dire combien tu me manques... je me fous de noel, je me fous de mon père, je me fous de tout ça, je suis juste en manque de toi. Je me demande sans arret pourquoi je ne peux pas exsister sans toi, pourquoi je ne parviens pas à bosser, pourquoi je ne peux que penser à toi à toi et à toi. Et je suis jalouse, parce que tu t'amuses et je hais ta putain de famille qui t'emmène partout, moi je voudrais telelment pouvoir t'offrir tout ça, je voudrais être à leur place, aller à disney en te prenant la main, aller au bowling avec toi et que tu me prennes dans tes bras pendant que antoine et ju jouent, je voudrais t'embrasser dans la grande roue du grand palais. Je regarde films sur films pour m'empecher de penser mais ça ne change rien. J'ai l'impression d'être débile, il y a des types qui perdent leurs femmes pour toujours et moi je suis là à chialer pour cinq malheureux jours !Pourquoi suis-je si faible ? Je crois que c'est parce que plus on avance, plus je t'aime trop, plus tu fais partie de ma vie, de moi, tu es  mon quotidien, quand tu pars, j'ai l'impression d'être dans un cauchemar vide, je n'ai 'envie de rien, tout m'ennuie...je suis désolée d'être aussi pénible, si j'étais une bonne copine, je ne t'aurais jamais dit que jétais mal, j'aurais fait semblant, je t'aurais laissé tranquille ! Si tu savais comme je m'en veux de toujours tout te gacher ! Je suis malade de toi ! Et voilà que je recommence à pleurer parce que j'ai eu le malheur de penser à toi dans mes bras, à ton nez sur ma joue qui me chatouille, à tes bras... est-ce que je suis folle ? Je comprends que l'on puisse se tuer par amour...

    Tu me manques mon amour....putain tu me manques...

    Il est deux heures...


  • Commentaires

    1
    ton amour
    Samedi 31 Décembre 2005 à 21:50
    ca va
    mon coeur ca va j suis la maintenant je t'aime a la folie mon ange de ma vie de mon coeur
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