• Dans...un deux...cinq...seize jours, j'ai dix-sept ans. Je me rends compte que depuis que j'ai des amis - eh oui je ne suis pas non plus un boulet...quoi que - je me suis toujours cassée le cul à organiser des surprises à tous mes potes, du genre, allez, Ginette dans l'armoire et Arthur dans le sellier et chuuuut !! quand elle arrive on allume la lumière et on crie "Joyeux anniversai.... bref. J'arrive sur mes dix-sept piges et finalement qu'est-ce que je constate ? Personne n'a jamais failli me faire avoir un infarctus parce qu'il s'était planqué derrière ma porte pour me souhaiter un happy Biourtzday...C'est pour dire, l'année dernière j'ai eu 1</strong /> cadeau, et même ma mère l'a oublié. Bon. Et là, ma petite Mim' il serait temps de te demander si tu as vraiment des amis lol..................

                  eee

    I'm alone !! ='(  Bouarhf...</em />


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  • Let's play... "Row"...Jon Brion qui s'étend lentement tout autour de moi... j'ai du l'écouter , sans exagérer, au moins soixante fois de suite, tout en essayant de camoufler mes larmes, sous mon écharpe et un bouquin de Sartre, afin d'éviter que tout le monde dans le métro apprenne que je pleure comme une conne. Les mots je ne les lis même pas, pauvre Poulou qui n'arrive même pas à me captiver...je fixe les murs noirs du métro, je finis par avoir l'impression que ce sont mes doigts qui déposent chaque accord, si je ferme les yeux, j'ai presque la sensation de légèreté que j'éprouve à chaque fois ou presque, lorsque je joue ces morceaux interminablement tristes mais beaux. J'aimerais bien que mon coeur aille s'assoupir un peu, tout au fond de moi, pour que j'arrête de penser à elle, juste un peu de temps, pour que j'apprenne à m'habituer...à m'habituer à être sans elle...parce qu'autrement j'en suis incapable.

     

    Je t'aime..........


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  •  Une bonne soirée pour un bel anniversaire... Happy eighteen my best...


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  • J'ai vu une femme qui ressemblait à ma mère, avec vingt ans en plus. Ca m'a rappelé, d'une façon assez désagréable, le jour où nous sommes allées au concert de "Madredeus". Une éternité que je n'étais pas sortie avec elle. Et cette impression soudaine de découvrir qu'elle a vieillit. De sentir tous ces jours à rester enfermées dans ma tête, s'écouler d'un coup dans les yeux, dans les mains, dans la démarche de ma mère. Je me suis sentie un peu conne, un peu bête de m'en apercevoir comme ça, sans que personne ne m'ait prévenue avant. Personne ne m'avait dit que ma mère avait vieilli. Et moi aussi j'ai pris un coup de vieux par la même occasion. 

    photo : ma mère...]

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  • [" U  ne femme si intensément destinée au bonheur (ne serait-ce qu'à un bonheur purement physique, ou, à un banal bien-être charnel) et qui choisit, on dirait avec insouciance, la solitude, la fidélité envers un absent, le refus d'aimer..."
    J 'ai écrit cette phrase à ce moment singulier où la connaissance de l'autre, nous semble acquise. Avant, c'est la curiosité, la divination, la soif d'aveux. La faim d'autrui, l'attirance pour ses souterrains. Puis, une fois son secret déchiffré, viennent ces mots, souvent prétentieux et catégoriques, qui dissèquent, constatent, classent. Tout devient compréhensible et rassurant. Peut alors débuter la routine d'une liaison ou d'une indifférence. Le mystère de l'autre est apprivoisé.</em /> Son corps est réduit à une mécanique charnelle, désirable ou non. Son coeur, à un inventaire de réactions prévisibles.
    E n fait à ce stade, une sorte de meurtre se produit car nous tuons cet être infini et inépuisable que nous avons rencontré.]

     

    A ndréï Makine ? "La femme qui attendait... "
    vvv

    - Où comment décrire avec beauté, l'habitude qui s'installe entre deux êtres qui s'aiment, après une certaine période, celle où l'on peut se dire, qu'à présent, on connaît par cœur la personne avec qui l'on vit. -

    6</em /> Tout faire pour l'éviter - apprendre à s'aimer chaque jour </em />6</em /></em />


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